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Dans la vie d'une entreprise qui cherche à se développer à l'international, il arrive souvent que des traductions juridiques soient nécessaires. Plus qu'une simple traduction mot à mot, les traductions juridiques exigent des compétences importantes. Dans cet article, nous vous donnons trois conseils importants pour bien choisir un traducteur juridique.
Choisissez un traducteur diplômé.
Il existe d'innombrables traducteurs proposant leurs services sur l'internet. Le secteur de la traduction n'étant pas réglementé, vous pouvez rencontrer n'importe quel type de prestataire. De nombreux traducteurs se contentent de traduire votre document mot à mot. Cependant, la traduction juridique est bien plus que cela. Elle nécessite une adaptation et une recherche pour correspondre à la culture et aux expressions du public cible. C’est pour cela qu’il est conseillé d’opter pour un traducteur diplômé.
Choisissez un traducteur spécialisé dans les traductions juridiques.
Une traduction juridique est plus qu'une simple traduction. Elle exige non seulement des compétences linguistiques, mais aussi des compétences terminologiques. Un bon traducteur juridique doit avoir une expérience dans le domaine juridique. Il peut s'agir d'une expérience universitaire ou d'une expérience professionnelle dans un cabinet d'avocats ou un service juridique d'entreprise. Il est recommandé de choisir un traducteur qui a une réelle expérience spécifique de la traduction juridique. Ainsi, il sera mieux armé pour travailler sur votre projet. Le traducteur juridique traduira vos documents dans la langue cible. Il adaptera les lois applicables d'un pays à l'autre, en respectant strictement la grammaire du document. Si nécessaire il l'adaptera aux normes culturelles et juridiques applicables.
Vérifiez que votre traducteur connaît les lois du pays cible.
Un très bon traducteur juridique connaît non seulement le système juridique de votre langue source, mais aussi celui de la langue cible. Il s'agit en particulier de la terminologie juridique utilisée dans le pays concerné. Pour que la traduction soit acceptée par l'organisme demandeur, le traducteur doit traduire avec précision la terminologie juridique dans les deux langues. Cela nécessite alors une bonne connaissance des deux langues et des lois des deux pays.